(In)dépendances

Lorsqu’on parle de dépendance, on pense bien sûr à l’accoutumance aux drogues, mais aussi aux réseaux sociaux, aux écrans, à la pornographie… Selon un sondage Ipsos / Macif, 70% des jeunes ont déjà perdu le contrôle face à leur addiction aux écrans. Peut-être avez-vous déjà vous-même été en proie à une addiction, classique ou non. Peut-être avez-vous vu d’autres personnes sombrer ou réussir à sortir la tête de l’eau. Racontez-nous !

Et si l’on pensait notre rapport à l’information, à la raison, à la vérité ? Pour vous, qu’est-ce que l’indépendance d’esprit ?  Qu’est-ce qui nous influence ? Où se situe la frontière entre l’esprit critique et le complotisme ? Et la presse dans tout ça : peut-elle être indépendante ?

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On associe souvent la dépendance à la vieillesse, aux grands-parents ou arrière-grands-parents partis en maison de retraite. Mais toutes sortes de handicaps peuvent, à tout âge, contraindre le corps et l’empêcher de s’épanouir. Peut-être avez-vous envie d’explorer ces thèmes, ou au contraire, de parler des moments où notre corps s’affranchit, prend son indépendance ?

​Est-il possible d’être jeune et d’échapper au désir de liberté ? La volonté de s’affranchir des autres, de ses amis, de sa famille, de l’école, de faire de nouvelles découvertes, de nouvelles rencontres, de s’émanciper de l’autorité des adultes, d’acquérir une indépendance financière… Voilà autant de motifs récurrents liés à l’adolescence. Est-elle vraiment l’âge de tous les possibles ?

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Ce thème soulève aussi des questions sociétales, politiques. Dans l’histoire, on a vu de grandes prises d’indépendance, comme les mouvements décoloniaux, la lutte pour les droits des minorités ou pour ceux des femmes. Aujourd’hui, peut-être avez-vous la sensation de vivre dans une société injuste, inégalitaire, discriminante pour toute une partie de la population ? Sommes-nous prisonnier·es, dépendant·es d’un système et si oui, peut-on s’en affranchir ?

Amitié, famille, amour : souvent, les relations avec nos proches nous portent, nous protègent. Mais peut-être avez-vous connu une amitié trop fusionnelle, ou un amour toxique ? Certain·es trouvent la chaleur humaine au contact de la foule, d’autres derrière leur écran connecté. Et vous ?